Bonjour à tous

Passionné d'histoire et notamment de celles des deux Empires (un ascendant au 3ème régiment des grenadiers de la Garde Impériale de Napoléon III explique peut-être ceci), je m'inscrits sur ce forum car je suis à la recherche d'informations sur le colonel FAURE dit FAURE-LABARBERE Chef de corps en 1813 du 34ème régiment d'infanterie de ligne et chevalier d'Empire en 1810. Je sais qu'il existe l'excellent ouvrage de Bernard Quintin pour se renseigner mais il est malheureusement pour moi trop cher et les bibliothèques des environs ne disposent pas d'un exemplaire.
Aussi, si quelqu'un peut m'aider je l'en remercie.
Merci à vous et je ne manquerai pas de mieux parcourir ce forum qui me semble riche et dynamique.
Cordialement

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Bonjour Debleville......

Je vous souhaite La... .... Sur le Forum des A.P.N..


Bien Cordialement.

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LABARBÈRE, dit Faure ou Faure-Labarbère  (Joseph-Antoine, chevalier), colonel du 34ème régiment d'infanterie de ligne.

Né à Ouzous (Hautes-Pyrénées) le 17 août 1755.
Mort à Villefranque (Hautes-Pyrénées) le 28 décembre 1816.

Fils de Fabien Labarbère et de Marie Cazaux ; marié à Magdeleine-Marguerite Froin.

Enrôlé volontaire comme soldat au régiment de l'Isle de France, 10 septembre 1775 ; nommé grenadier, il sert en Corse, 1776 - 1777 ; obtient son congé, 16 septembre 1783 ; exerce les professions de greffier et notaire à Saint-Jean-d'Angély avant la Révolution ; s'engage au 3ème bataillon de volontaires de la Charente-Inférieure dit de Saint-Jean-d'Angély et est élu lieutenant-colonel en premier de ce bataillon, 7 octobre 1792 ; fait campagne en Vendée, 1793 - 1795 ; aux armées des côtes de l'Océan et des côtes de Cherbourg, 1795 - 1796 ; en Vendée et à l'armée de l'Ouest, 1796 - 1797 ; incorporé avec le grade de chef de bataillon dans la 30ème demi-brigade d'infanterie légère de deuxième formation constituée à Domfront, 4 janvier 1797 ; sert à l'armée de l'Ouest, 1797 - 1798 ; en Italie, 1798 - 1799 ; dans le département du Morbihan et à Belle-Ile, 1799 - 1801 ; à Saint-Domingue, 1802 - 1803 ; passé chef de bataillon à la 11ème demi-brigade d'infanterie légère, 22 mars 1803 ; revenu en France, il est affecté comme chef de bataillon au 5ème régiment d'infanterie légère, 16 septembre 1804 ; employé en Hollande et à l'armée du Nord, 1804 - 1805 ; chevalier de la Légion d'Honneur, 25 avril 1806 ; rejoint avec son régiment la Grande Armée en 1807 ; participe au siège de Stralsund en Poméranie suédoise après la rupture de l'armistice avec la Suède et est blessé d'un coup de mitraille au dos, 14 juillet 1807 ; bénéficiaire d'une dotation de 2.000 francs sur les biens réservés en Westphalie, 19 mars 1808 ; nommé major du 17ème régiment d'infanterie légère, 7 avril 1809 ; détaché après le débarquement des Anglais à Walcheren le 29 juillet 1809 à l'armée du Nord pour y commander la cohorte de la garde nationale des Vosges, 1809 - 1810 ; fait chevalier de l'Empire par lettres patentes du 18 août 1810 ; fait campagne en Espagne, 1813 ; promu colonel du 34ème régiment d'infanterie de ligne par décret du 22 décembre 1813 ; celui-ci n'ayant pu lui être notifié compte tenu des circonstances et de l'invasion de la France par les Alliés, il prend part comme major du 17ème léger au blocus de Strasbourg et est grièvement blessé à la hanche droite d'un coup de boulet dans une sortie de la garnison en direction de Kehl, 8 avril 1814 ; mis à la suite du 33ème régiment d'infanterie de ligne (dénomination du 34ème de ligne à la suite de l'ordonnance du 12 mai 1814), 19 juillet 1814 ; officier de la Légion d'Honneur, 15 octobre 1814 ; chevalier de Saint-Louis, 1er novembre 1814 ; mis en non-activité, 1er novembre 1814 ; reprend du service aux Cent-Jours comme colonel commandant les gardes nationales du département des Hautes-Pyrénées pour l'arrondissement de Tarbes, 10 juin 1815 ; remis en non-activité, 1er août 1815 ; admis à la retraite, 19 décembre 1815.

Source : D. et B. Quintin - Dictionnaire des colonels de Napoléon

Merci pour ces informations. Comme quoi, j'ai fais un bon choix de m’inscrire. Je ne sais si je pourrai un jour vous rendre la pareil, en attendant un GRAND merci.
Debleville