Menton Figurines Show 2015

horreur!! moi aussi j'ai perdu mon S

Pas d'affolement Nous vous comprenons trés bien

un reportage sur le concours de Menton est disponible sur le site
http://www.figurinitaly.com/reportages/menton.html

bonne vue

Bonjour à tous,
Je suis tout à fait nouveau sur votre forum que je ne connaissais pas.
Un de vos membres fréquente, avec le même pseudo, le même site de maquettisme que moi. C'est lui qui m'a averti de la publication de photos de la plaquette représentant une vue partielle du parc d'artillerie de la Grande Armée.
J'en suis le modeste auteur et je remercie ceux d'entre vous que le sujet a intéressés et qui l'ont, semble-t-il, apprécié.
Aussi, suis-je disposé - et ce sera avec le plus grand plaisir - à répondre à toutes vos questions à ce propos.
Je prépare un article sur le sujet avec quelques photos un peu plus détaillées (je vais profiter des derniers beaux jours pour en reprendre de nouvelles en extérieur).
En matière de maquettisme, j'ai été déçu par la plupart des forums que j'ai fréquentés. Je m'en suis détaché sans regrets. En arrivant chez vous, c'est un peu le saut dans l'inconnu.
Je me suis inscrit au vôtre parce que la procédure est obligatoire pour pouvoir parler, éventuellement, de mon travail puisque vous m'avez fait l'honneur d'en publier quelques vues.
Comme je ne suis pas vraiment familier de votre site, de son exploitation pratique et que, informatiquement parlant, je figure en dernière place de la catégorie des nuls (selon la formule en vogue), je sollicite dès à présent votre indulgence pour des maladresses toujours possibles.
Si vous voulez bien m'accueillir parmi vous, j'en serai heureux et je vous en remercie à l'avance.
J'ai conservé le pseudo que j'emploie déjà sur le dernier site maquettiste que je fréquente encore, parce qu'il est "napoléonien", qu'il me plaît et qu'il semble cadrer avec l'objet de votre forum.
Maintenant, place aux questions, merci de votre patience et bonsoir.
Gribeauval

Bonjour,

Citation :

informatiquement parlant, je figure en dernière place de la catégorie des nuls (selon la formule en vogue), je sollicite dès à présent votre indulgence pour des maladresses toujours possibles.

Pas si nul que cela, car madame Gribeauval possede beauoup de truc et atuces dans son sac à malices.

Je vous souhaite la bienvenue, chez les APN ,

Cordialement,A+

Bonsoir Gribeauval,

Votre venue était annoncée et c'est avec plaisir que je constate votre arrivée.
Votre diorama est splendide , même en y mettant de la "mauvaise foi" , je ne vois rien qui ne soit pas historiquement "vrai.
Les questions ne vont pas tarder; Ici nous aimons la figurine sans retenue, pas de querelle de peintures, ou d'échelles. Des conseils mais pas de critiques, bref, des Passionés.

Première question :
Comment avez vous fait le martinet ? Le soufflet est plus imposant que celui que j'avais vu dans un autre décor.

Bonsoir le système, pardon Gribeauval
En premier lieu ou chapeau bas pour ta réalisation, non pour le travail énorme que tu as fournit Bravo! Une question toutefois, les photos semblent présenter des pièces d'artillerie avec un avant train de l'an XI: ai je révé?

Ensuite un nul en valant un autre alors j'aimerai savoir ta teinte utilisée pour le vert artillerire si sujet à controversessss En fait pour ne rien cacher tu découvriera (j'espère que le "tu" ne dérange pas ) que je suis avant tout fig unique mais, selon l'addage "chassez le naturel il revient au galop" voilà le maquestiste de mes débuts qui revient: j'ai repris le vis à la vertue fabriquante de monter un fourgon et un obusier Historex récemment acquis sur Ebay

Figurinistement vôtres

Bonsoir Patrice Raynaud,
Merci de votre accueil chez les APN.
Qu'appelez-vous exactement martinet? J'élimine le volatile. En dehors de l'instrument de correction qui a menacé bien des générations de marmots, je ne connais que l'outil ancien d'atelier chez les carrossiers du début du XXe siècle qui servait à planer la tôle dans un bruit effrayant à une époque où l'on ne connaissait pas les presses. Sauf erreur, la plaquette n'en comporte pas.
En revanche, l'atelier de forge est bien doté du traditionnel soufflet à l'ancienne, strictement semblable, hormis les dimensions naturellement, à l'ustensile des cheminées domestiques et ancré d'une part sur le mur porteur du fond et d'autre part sur le fût principal de la charpente sur laquelle s'articule la potence de levage lourd.
Je l'ai réalisé avec 3 petites plaques de contreplaqué de 5, mises en forme, superposées avec cales intermédiaires pour leur donner l'inclinaison et autour desquelles j'ai collé une bande de cuir naturel avec le plissage nécessaire. Vous avez compris que c'est du scratch intégral.
Le reste est affaire de peinture et de patine.
Le montage général est en tous points celui d'une forge traditionnelle. N'oublions pas que nous sommes là en Allemagne, en 1808, que la forge est un atelier civil réquisitionné et qu'il est utilisé par des ouvriers d'artillerie, certes militarisés, mais avant tout ouvriers très hautement qualifiés et que, dans cette catégorie, les forgerons représentaient "l'aristocratie", la plupart ayant la qualité de "maîtres ouvriers".
Je vais essayer de passer une photo dès que j'aurai compris la procédure.


Bonsoir Wipy et merci pour l'accueil. L'avant-train est l'avant-train classique Historex, tel qu'il était le plus généralement exposé pour les modèles réduits de pièces de campagne de la Salle Gribeauval du Musée de l'Armée aux Invalides.
Je n'ai jamais eu connaissance d'une quelconque mention "An XI" pour dater ou désigner cet avant-train qui me paraît cependant assez antérieur à cette année là. Je ne polémiquerai donc pas sur le détail. Je ne retiens que l'idée simplifiée, adaptée et généralisée par Gribeauval (le système était déjà en oeuvre pour certaines pièces de l'artillerie d'Ancien Régime) de poser sur l'essieu de fer une forte traverse de bois portant la cheville ouvrière. Difficile de faire plus simple et plus efficace.
En ce qui concerne la peinture du matériel d'artillerie d'Empire, j'applique d'abord, en sous-couche, de l'Humbrol 116 (vert soutenu ou vert soviétique) puis, en couche définitive, de l'Humbrol 155 qui n'est rien d'autre que l'olive drab des véhicules US de la WWII. On est pile-poil dans la teinte. Ensuite, patine et salissures.

Cordialement.
Gribeauval

Merci Gribeauval pour vos réponses
Je ne désire pas non plus polémiquer sur tel ou tel système mais sacher qu'un autre système dénomé AN XI a été pensé et utiliser par les armées napoléoniennes en même temps que le "Gribeauval" qui date lui d'avant la révolution.... L'avantage premier du système Gribeauval se trouvait dans la standardisation des "calibres" utilisés dans l'artillerie française ce à quoi on doit ajouter l'utilisation d'un même avant train pour plusieurs tractions: fourgons, pièces d'artillerie, wurst.....
Voici un lien sympha y relatif:
http://pagesperso-orange.fr/minismodels/technique/doc_artillerie/gribeauval01.htm

Pour les pièces d'artillerie la différence essentielle entre les deux systèmes était à première vue le caisson des premiers coups emporté avec l'avant train plus volumineux et fixe dans la version AN XI, alors que l'autre système était plus petit et amovible. Je recherche l'article y relatif dans un ancien Tradition magazine et vous le communique asap

Bien à vous

Bonjour Gribeauval,

J'aurais préféré vous rencontrer à Menton, mais les trois fois où je suis venu admirer votre travail, il n'y avait personne.
En premier, un grand bravo car c'est réellement superbe et assez rare à cette échelle.

Pour la peinture du matériel demandé par wipy, je note que l'on utilise les mêmes teintes. C'est assez rare de rencontrer des utilisateurs de humbrol.

C'est le système Marmont dont parle wipy, de mémoire, qui était plus léger que le Gibeauval.

Comment avez-vous eu l'idée de vous lancer dans un diorama pareille à l'échelle historex ? Une passion pour l'artillerie ou le plaisir de représenter une scène de vie de l'armée impériale en campagne ?

Amicalement

Bonjour les amis,

D'abord, je réponds à Gribeauval. Pour le martinet , je n'ai pas été bien clair . Il sagit bien de l'outil pour frapper le métal, le décor comprenait un trés imposant soufflet, il me semble que c'était dans les années 80 dans Uniformes ou Tradition.

Concernant l'avant train, en ce moment je suis dans la Révolution et en 1794 c'est le même qu'en 1808, je ne vois aucune différence notable, on le trouve dans tous les attelages à 2 , 4, 6 chevaux.
Il est possible que Marmont ait par sa fonction mis son nom sur le décret lors de la création des conducteurs du train d'artillerie en 1802.
J'avais eu entre les mains un décret concernant la peinture des bois du matériel, un mélange d'ocre, de noir et de vert, le résultat approchait le turquoise "pisseux" qui n'a jamais été appliqué. Même sous l'Ancien Régime les bois sont verts.

Je ne peux que me féliciter de lire autant de choses à "base" d'Historex"

Bonjour Patrice et vous tous,

Je ne connais pas toutes les gammes loin de là, mais en découvrant le catalogue Historex, je suis impressionné par la richesse de la collection, notamment concernant les pièces détachées. Pour celui qui fait de la transformation, c'est la caverne d'Ali Baba.

Pour ma part, je pensais que le système Marmont était ce qui précéde le Gribeauval plus lourd et peut-être plus solide. D'ailleurs, puisqu'on en est là, qui peut m'expliquer comment se fait la modification entre les deux systèmes et pourquoi ?

Amicalement

Bonjour Wipy,
Merci pour le lien. Je possède les ouvrages correspondants.
Petite nuance: certes Gribeauval a standardisé les calibres des pièces mais, en ce qui concerne les avant-trains, son système était simplement adapté aux différents véhicules.

Pour les pièces de campagne, oui, c'est un même avant-train triangulé avec, au centre, entre armon et timon, l'essieu porteur de la traverse et de la cheville ouvrière.

Pour les caissons et dérivés, le même principe est repris mais, là, il est complété par une barre anti basculement, sorte de contre timon, montée sous la cheville ouvrière et calée juste au-dessus de l'essieu arrière.
Pour les chariots régimentaires, les ambulances, etc., on a toujours le triangle de base mais la barre anti basculement est supprimée au profit d'une assez large couronne de rotation dont la cheville ouvrière est le centre et qui vient s'appliquer sur son double solidaire du corps du véhicule.

Pour les forges à 4 roues, les chariots à boulets, les haquets de pontons, les fardiers etc., la cheville ouvrière n'est plus solidaire de l'essieu mais, au contraire, fichée dans la seconde traverse-entretoise avant du corps du véhicule et s'imbrique dans la pièce arrière du triangle qui remplace l'armon.

En fait, cette triangulation de l'avant-train (avec ses différentes adaptations) vient de l'idée de Gribeauval de remplacer la traction à la française au profit de la traction à l'allemande. La traction à la française ou attelage à la limonière comprenait un cheval entre brancards et un attelage "en flèche" de 3,4,5 ou 6 chevaux en file atteignant les 20 mètres de long en tenant compte des traits et des espaces nécessaires. Au contraire, la traction à l'allemande couple les chevaux 2 par 2, au début de part et d'autre du timon, avec, à gauche, un cheval porteur (du conducteur) et un cheval sous-verge à droite. Ainsi attelées, ces paires de chevaux réduisent la longueur des attelages, donc des convois, et permettent une meilleure maniabilité, la rapidité de déplacement et une traction supérieure.
N'oublions pas que Gribeauval, avant de servir le Roi de France, avait, comme cela se voyait fréquemment à l'époque, servi en Prusse le Grand Frédéric et qu'il avait bien observé l'artillerie prussienne.

Quant à vos "caissons début de combat", je suppose que vous voulez parler des coffrets d'affût. Je suppose que ces caissons étaient inspirés de ceux de l'artillerie autrichienne effectivement plus longs, au couvercle arrondi et sur lesquels les servants se juchaient à califourchon lors du déplacement des pièces. Je n'en ai pas vu au Musée de l'Armée. Etaient-ils vraiment réglementaires et partout répandus ?

Cordialement
Gribeauval

Merci Gribeauval pour ces brillantes et claires explications, on sent le spécialiste.
Comme je l'écrivais au Lt Legros hors forum, par un un choix curieuc, C.Sauvé s'est attribué le canon de 12 chez Nemrod, je crois aussi qu'il a pris la charette, je vais vérifier.
J'espère qu'il ne va pas "détourner" mes Vendéens et mes Républicains
Pour l'instant les Napolitains sont toujours chez Historex, pourvou che ça douré.

En fouillant je trouve encore des choses dans le catalogue ! Courage Lieutenant

Bon, maintenant on connaît l'origine de la finesse du diorama et des détails.

Amicalement

Bonjour Lieutenant Legros,
Excusez-moi, je ne vais pas assez vite: vos réponses et vos questions vont plus vite que mes propres réponses qui sont peut-être trop longues mais j'ai le soin de l'expression écrite correcte et de la précision. J'espère que le mélange reste clair.

Quelle a été mon idée ? Difficile à dire. Et beaucoup trop long à expliquer en quelques lignes. Laissez-moi, je vous prie, terminer mon article et je demanderai au modérateur la permission de le publier sur sur le forum des APN (il faudra aussi qu'il me montre la manière de procéder et là, ce n'est pas gagné!).
L'article répondra valablement, je pense, à votre interrogation.
En gros, c'est un projet un peu fou qui a abouti à un pari que je me suis fait avec moi-même, une sorte de challenge au sens britannique du terme.

Puisque la plaquette (je récuse le terme généralement répandu de diorama qui ne convient pas à ce display [explications plus tard]) semble vous intéresser, je prévois une autre séance de photos à la lumière naturelle qui seront, je l'espère, plus explicites pour vous tous.

Cordialement
Gribeauval

A Wipy,
Il me revient en mémoire un avant-train qui semblerait correspondre à celui que vous évoquez mais qui ne semble pas avoir fait l'objet d'une construction systématique et d'une dotation généralisée dans les régiments d'artillerie en remplacement du modèle Gribeauval.
Cet avant-train comportait effectivement un coffret transversal mais qui n'était, du coup, plus d'affût, en avant de l'essieu ce qui nécessitait un timon fixe et non repliable, ce coffret compensant en équilibre, en quelque sorte, le poids de l'affût attelé.
Dernière précision, cet avant-train équipait l'artillerie saxonne dont les contingents figurèrent dans la Grande Armée jusqu'à la funeste bataille de Leipzig.

A tous,
Il est écrit que C. SAUVE s'est attribué le canon de 12. Je n'en ai aucune connaissance, n'entretenant pas de relations spéciales avec NCO HISTOREX et ne possédant plus qu'un catalogue très ancien où il ne figure pas.

Ce qui est certain, c'est qu'HISTOREX avant NCO n'avait produit qu'un seul canon, de 8, celui de l'artillerie à cheval afin que les amateurs puissent réaliser des attelages complets. Quand on connaît l'extrême complexité des attelages et les difficultés de réalisation, on ne s'étonne pas de l'échec commercial de l'entreprise: pour parler crûment, Historex a constaté là un bide dont il ne s'est jamais relevé complètement.
Certes, en employant une partie des moules du canon de 8, HISTOREX a bien produit un obusier de 6 (pouces). Ont suivi des caissons, des chariots, des forges, etc., et même un canon anglais, le 9 pounder dont j'ignore le succès commercial réel outre-Manche et chez les amateurs. Car, en matière d'attelages, les harnachements de la Royal Horse Artillery différaient notablement des nôtres, ce qui réduisait d'autant l'impact commercial dudit canon, réduit, du coup, à une position statique.
En ce qui concerne le canon de 12, HISTOREX initial n'en a donc jamais produit, même pour l'artillerie à pied de la Garde dont c'était le seul calibre en dotation.
Sur la plaquette, j'ai réalisé un canon de 12 à ma façon. Et de la Garde en plus pour justifier la présence d'un officier supérieur de l'artillerie à pied de la Garde et celle de 2 conducteurs de son Train. Le grand parc d'artillerie n'était pas exclusif et servait autant à la Garde qu'à la Ligne. Ma documentation de base a été les planches dessinées par le regretté Forthoffer et publiées dans les carnets de la Sabretache il y a au moins trente ans (j'ai perdu les dates). Ce canon, à échelle constante, est de dimensions plus grandes que celles du canon HISTOREX de 8 et son avant-train est du même principe mais renforcé et sa cheville ouvrière est légèrement décalée en arrière de l'essieu. Dans une pièce de laiton, j'ai tourné le fût aux dimensions exactes de Forthoffer.
Cette particularité n'a pas été reprise dans les modèles du Musée de l'Armée. Pourquoi ? D'où Forthoffer tenait-il ces modèles particuliers ?
La question restera posée. Toujours est-il que des raisons évidentes militent en faveur d'un renforcement de l'équipement, ne serait-ce que le poids: le fût du canon de 8 pesait 580 kg et celui du canon de 12 pesait 885 kg ce qui fait que, avec son avant-train et son coffret d'affût opérationnel, l'ensemble frôlait les 2 tonnes. Ceci explique cela.

A bientôt et cordialement
Gribeauval

Bonjour Gribeauval et à tous
Merci encore pour ces précisions techniques Que je vous rassure le mélange est tout à fait clair, et nous attendons avec impatience l'article et les photos
Patrice: la pièce de 12 est déjà en vente ?

Figurinistement votre

Nos posts ce sont croisés....
La description que vous faites de cette pièce ressemble bien au système dont je parle. Je regarde ce soirdans mes Traditions et nous aurons plus de détails

Pour le canon de 12, deux précisions .
Oui , il est en vente chez Historex/Nemrod depuis 2 ou 3 ans.
Pour ce canon , Christian et Benoit ont utilisé les plans du Musée de l'Armée, trés bien détaillés avec toutes les côtes qu'Yves Martin puis moi avons obtenus.

Par gout personnel , j'aimerais bien voir sortir la pièce de 6 utilisée par l'artillerie à cheval rattachée aux divisions de cavalerie.

Juste pour le réalisme ce serait bien d'avoir aussi des pièces prises aux étrangers mais est ce que l'investissement serait rentable ???

Gribeauval,

Il me vient un doute, je ne râlais pas dans mon propos précédent.
Mais vous avez une telle connaissance technique dans ce domaine que je comprends, sans que vous le disiez forcément, que vous ayez eu envi de matérialiser cela par un travail de reconstitution du niveau de votre diorama.

Maintenant, je vais tout relire patiemment pour suivre tous les détails techniques qui m'intéressent.

Amicalement

Je crois que nous en sommes tous là Lieutenant

Amitiés

Phil

Ca y est j'ai retrouvé
Tradition Nr 78-79 juillet aout 93 et Nr 80 de septembre de la même année
Le reste en MP si besoin bonsoir à tous

le compte rendu c'est ici http://www.legrognard.net/exposition/menton2008.htm

Merci Gilles06