- 12.02.1779 : Canonnier au régiment de Besançon Artillerie, il a seize ans
- 1779-1783 : Sur les côtes de Bretagne et de Normandie
- 15.06.1785 : Sergent
- 04.09.1791 : Élu lieutenant-colonel au 3ème bataillon de volontaires
- 1792 : Armée du Nord
- 19.08.1792 : Adjudant-général
- Se bat à Valmy et à Jemmapes
- Armée de la Moselle
- 04.02.1793 : Adjoint au ministre de la Guerre
- 07.02.1793 : Colonel du 22ème régiment d'infanterie
- 08.03.1793 : Général de brigade
- 01.06.1793 : Suspendu
- 01.06.1795 : Réintégré et affecté à la 1e division militaire
- 06.08.1795 : Retraité
- 19.07.1795 : Réintégré, affecté à l'armée de Rhin-et-Moselle
- 05.09.1795 : Admis à la retraite
- 21.07.1797 : En position de réforme
- 28.02.1800 : Inspecteur aux revues
- 1800-1801 : Armée d'Italie
- 1801-1804 : Affecté à la 2e division militaire (Mézières)
- 1804-1806 : Armée d'Italie
- 22.12.1807 : Maître des requêtes au Conseil d'Etat
- 17.03.1808 : Inspecteur en chef aux revues de la Garde Impériale jusqu'en 1814
- Première Restauration : Maître des requêtes au Conseil d'État
- 28.06.1814 : Inspecteur aux revues des quatre compagnies rouges de la maison militaire du Roi
- 20.03.1815 : Cent-Jours, accepte des fonctions
- 01.01.1816 : Seconde Restauration, cesse d'être employé et est admis à la retraite
- 06.12.1839 : Vit retiré dans sa terre de Rouge-Maison près de Vailly (Aisne) lorsqu'il est assassiné à coups de couteau par un de ses domestiques, Jean-Pierre Venturini
- 07.12.1839 : Il meurt de ses blessures
Honneurs :
- 25.03.1804 : Chevalier de la Légion d'honneur
- 22.12.1807 : Officier de la Légion d'Honneur
- 24.01.1814 : Commandeur de la Légion d'Honneur
- 01.11.1828 : Grand officier de la Légion d'Honneur
- 15.08.1809 : Baron de l'Empire (décret)
- 09.03.1810 : Baron de l'Empire (lettres patentes)
- ???? : Chevalier de la Couronne de Fer (royaume d'Italie)
- 28.06.1814 : Chevalier de Saint-Louis
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ThiNap
- Un seul son de sa voix, un signe de ses yeux donnaient une secousse au monde. [Chateaubriand]
- Il n'y a d'immortalité que celle qu'on laisse dans l'esprit des hommes [Napoléon Ier]