Paris d'Illins, décédé 18-11-1809

Paris d'Illins. Antoine-Marie. Général de cavalerie.
Fils d'un noble écuyer, né à Paris EL9-3-1746, est mort dans la bataille d'Ocaña 18/11/1809; Grenadiers de bénévolat de la France sur 01.01.1761, 10.09.1762 lieutenants, sous- Plus l'adjudant 08/11/1768, avec le grade de capitaine le 11/08/1771, Adjoint au régiment provincial de Mantes sur 14/08/1771; capitaine ajouté au régiment Royal-Nassau-Hussards le 17-5 - 1773 Le général ajouté au régiment de dragons sur 18/12/1776; lieutenant-colonel de dragons ajouté au corps du 04/05/1780, chevalier de Saint-Louis le 07/11/1784; admis à l'organisme d'état-major de armée comme assistant-maréchal général de cavalerie logistique dans le domaine de Metz 7-8 1788 01/04/1791 colonel adjudant général, destiné à division militaire 3ème 07/06/1791; colonel 6e Hussars sur 02/05/1792; quarterback dans le domaine militaire pour le Centre 22-5 - 1792 16/08/1792 est enlevée, obtenir une pension de retraite comme colonel sur 25/9/1801, autorisé à bénévole à l'état-major général maréchal Davout, dans le domaine de Bruges le 06/07/1804; retourne à l'armée 01/09/1805, membre de la Légion d'honneur le 29/05/1806; admis à son activité en tant que général de brigade par décret du 25/03/1807, commandant de cavalerie dans le domaine de Pontivy le 25/04/1807; prévue champ Bologne 06.06.1807, inspecteur en charge de l'organisation de la cavalerie de la Légion portugaise 08/10/1808; commandant la cavalerie du 5e Corps de l'armée d'Espagne le 17 10-1808; commandant de la forteresse de Retiro à Madrid le 22/12/1808; transmet les ordres du maréchal Mortier en 1809;
Le matin du 18/11/1809, la cavalerie de Paris et Milhaud a traversé le fleuve Tage Aranjuez, dans la poursuite des coureurs espagnols du général Freire, avant d'arriver à Ocaña, dans Ontigola, face à deux chevalerie épuisante combat, qui se termine par le retrait de l'Espagne, laissant le champ de bataille, quatre-vingts prisonniers et des centaines de morts et de blessés. Les pertes françaises cinquantaine, parmi lesquels se trouve celui du gén
Paris d'Illins. Antoine-Marie. Général de cavalerie.
Fils d'un noble écuyer, né à Paris EL9-3-1746, est mort dans la bataille d'Ocaña 18/11/1809; Grenadiers de bénévolat de la France sur 01.01.1761, 10.09.1762 lieutenants, sous- Plus l'adjudant 08/11/1768, avec le grade de capitaine le 11/08/1771, Adjoint au régiment provincial de Mantes sur 14/08/1771; capitaine ajouté au régiment Royal-Nassau-Hussards le 17-5 - 1773 Le général ajouté au régiment de dragons sur 18/12/1776; lieutenant-colonel de dragons ajouté au corps du 04/05/1780, chevalier de Saint-Louis le 07/11/1784; admis à l'organisme d'état-major de armée comme assistant-maréchal général de cavalerie logistique dans le domaine de Metz 7-8 1788 01/04/1791 colonel adjudant général, destiné à division militaire 3ème 07/06/1791; colonel 6e Hussars sur 02/05/1792; quarterback dans le domaine militaire pour le Centre 22-5 - 1792 16/08/1792 est enlevée, obtenir une pension de retraite comme colonel sur 25/9/1801, autorisé à bénévole à l'état-major général maréchal Davout, dans le domaine de Bruges le 06/07/1804; retourne à l'armée 01/09/1805, membre de la Légion d'honneur le 29/05/1806; admis à son activité en tant que général de brigade par décret du 25/03/1807, commandant de cavalerie dans le domaine de Pontivy le 25/04/1807; prévue champ Bologne 06.06.1807, inspecteur en charge de l'organisation de la cavalerie de la Légion portugaise 08/10/1808; commandant la cavalerie du 5e Corps de l'armée d'Espagne le 17 10-1808; commandant de la forteresse de Retiro à Madrid le 22/12/1808; transmet les ordres du maréchal Mortier en 1809;
Le matin du 18/11/1809, la cavalerie de Paris et Milhaud a traversé le fleuve Tage Aranjuez, dans la poursuite des coureurs espagnols du général Freire, avant d'arriver à Ocaña, dans Ontigola, face à deux chevalerie épuisante combat, qui se termine par le retrait de l'Espagne, laissant le champ de bataille, quatre-vingts prisonniers et des centaines de morts et de blessés. Les pertes françaises cinquantaine, parmi lesquels se trouve celui du général Paris, est décédé d'un coup de poignard par le Caporal Régiment Vicente Manzano Pavie.


Sources.
Dictionnaire Biographique des Généraux & Amiraux Francais de la Révolution et de l´Empire.
Autor: Georges Six.