L’Histoire aime les drames et la vie de Ney est digne de l’Antique.
L’homme n’est pas lisse, ses défauts valent ses qualités.
Météore historique, il suit le destin de son maître de la gloire des champ de bataille à la fin tragique.
Dans son récit, Favier comme à son habitude ne laisse rien dans l’ombre.
À la gloire d’Elchingen, Friedland, La Moskova ou la retraite vers Orcha, répondent comme des coups de canons les échecs retentissants de Dennewitz, Les Quatre-Bras ou Waterloo.
L’homme est inconstant, et colérique accumulant les brouilles aves ses pairs.
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