Il pourrait apparaître paradoxal de consacrer un chapitre à « Napoléon et la paix », alors même que - général, Premier Consul et Empereur - il est considéré tel un « Dieu de la guerre », comme l’écrivit Clausewitz.
Le paradoxe n’est qu’apparent et, toujours pour paraphraser librement Clausewitz, Napoléon savait que la guerre était un outil ou une continuation de la diplomatie.
https://www.napoleon.org/histoire-des-2-empires/articles/napoleon-et-la-paix/
Comme le disait Napoléon lui-même : "La paix est aussi un combat".