89-Yonne

Si vous avez des photos de ce département, mettez-les ici.

Département de l’Yonne
Arrondissement de Tonnerre
Canton de Flogny - La Chapelle
Commune : CARISEY :

Site :
Près du CD8, chemin du Raudot, à Carisey (Yonne)
(Commune de LOUIS VICTOR BAILLOT, fusilier du 105è de ligne, dernier survivant de Waterloo, décédé à 104 ans.



Calvaire constitué d’un socle de pierre de 0,80 m x 0, 80 m et 1, 50 m surmonté d’une croix en fer de 2, 50 m ornée de motifs de bronze, érigé par la famille Charlot, à la suite de la mort accidentel (chute de cheval) du capitaine Charlot, survenue à cet endroit, venu à Carisey auprès de son frère Edme Charlot, menuisier à Carisey, assister au mariage de deux nièces en 1829 et en 1841 et sur lequel on lit l’épitaphe suivante :



Né le 12 mars 1773, à Dyé (Yonne)
Fils du légitime mariage d’Edme Charlot, laboureur, et de Jeanne Geoffrin.
Oncle de Adelphine Charlot, légataire universelle, épouse de Amable Pernot, propriétaire à Carisey.
Décédé à Dyé (Yonne), le 23 décembre 1842.
Inhumé dans le cimetière de Dyé (Yonne), la sépulture n’existe plus de nos jours.

Etat des services :
Volontaire, entré dans le 29è bataillon de Paris, 1er septembre 1793.
Incorporé dans le 3è régiment de chasseurs à cheval, 29 germinal an II (18 avril 1794)
Brigadier, 13 pluviôse an VII (1er février 1799)
Maréchal des logis, 1er ventôse an VIII (20 février 1800)
Maréchal des logis-che, 21 nivôse an XI (11 février 1803)
Lieutenant, par décret impérial du 1er janvier 1808.
Capitaine, par décret impérial du 3 juin 1809.

Blessures :
- Blessé à la bataille de Wagram, le 6 juillet 1809.

Autres fonctions :
Maire de la commune de Dyé (Yonne)

Décorations :
Membre (Chevalier) de la Légion d’honneur par décret impérial du 28 juin 1804.

Département de l’Yonne
Arrondissement d’Avallon
Canton de L’Isle-sur-Serein
Commune : ANNOUX

Sortie de Annoux, route de Thizy, juste après le château, chemin forestier à droite (accessible en voiture), à 1750 mètres, dans les bois communaux d’Annoux.

La tour du télégraphe Chappe d’Annoux.

La tour, en maçonnerie carré, du télégraphe Chappe d’Annoux fut construite en 1809, date gravée sur le linteau de pierre de la porte d’entrée et confirmé par M. Baudenet dans une lettre adressée au Ministre de l’Intérieur, 18 novembre 1818, document figurant aux Archives nationales de Paris, dont voici le texte.

« En 1809, il a été construit un télégraphe sur la commune d’Annoux dans un bois qui m’appartient. L’administration sans aucune formalité s’établit sur le terrain et fit arracher le bois dans la partie qui lui était nécessaire. Le 23 février dernier, le feu prit au télégraphe et consume la couverture faite en bois ainsi que les planches. Il faisait alors un grand vent, l’effioune (1) dont était fait le toit était jetée au loin toute enflammée et donnait lieu à craindre un incendie dans ma propriété, crainte qui se fut sans doute réalisée sans le prompt secours que les habitants de la commune s’étaient empressés de donner et si en même temps il n’eut tombé une très grosse pluie. »

Il est vraisemblable qu‘à l’époque le toit était pyramidal et qu’à la suite de l’incendie, il fut remis en état avec la forme actuelle pavillonnaire à quatre pans et toiture d’ardoise et bien que plus tard la tour fut protégée par une toiture d’ardoise, subsistait encore quelques fragments d’un certain lattage qui servait à fixer les ardoises.

Constatant le délabrement de la toiture, des murs et de la charpente de cet édifice, c’est en décembre 1992, après la cession à la Commune, qu’une Association créée à cet effet décida de prévoir la restauration de cet élément du patrimoine régional et national, puis c’est en octobre 1993 que pour des impératifs financiers la Municipalité prit le relais avec possibilité d’obtenir différentes subventions, Région, Département et Etat. Complété par un emprunt ceci, permettant en septembre-octobre 1994 de commencer activement les travaux de démolitions des restes de charpentes et planchers chancelant, ce qui n’était pas prévu, la présence d’anciennes sablières en mauvais état, incrustées sous 2,50 mètres de murs qu’il a fallu aussi démolir et reconstruire. Ce qui a laissé à penser que la tour a été rehaussée à une certaine date, 1832 peut-être. Cette partie haute de maçonnerie étant d’apparence différente de la partie basse de la tour.

Les travaux de gros œuvre avec mise en place des poutres les plus importantes et de la charpente reconstituée à l’identique furent terminés fin octobre 1994.
En 1983, l’ancienne charpente était signalée comme étant une des plus belles et une des plus rares existant en France, l’ensemble de la toiture, des enduits et jointoiement, pose des volets, châssis et porte s’achève début décembre 1994.

Il est à signalé que tout au sommet de l’échelle mis en place, au dessus de la toiture, un mécanisme de simulation de signaux a été installé de nouveau.


Pour information :

Visite guidée de la tour avec commentaires sur l’invention de Chappe et le fonctionnement du mécanisme.
Accès handicapés partiel ; accès à pied par un chemin de 1250 mètres en sous-bois, avec fléchage en place au départ du village d’Annoux. Possibilité d’emprunter ce chemin en voiture mais à vitesse lente.
Horaires : dimanche : 14 h à 18 h – gratuit.
Renseignements : 03.86.33.84.49.


(1) - Petite planche de bois

Département de l’Yonne
Arrondissement d’Avallon
Canton d’Avallon
Commune : AVALLON

Centre ville :
Hôtel de la Poste devenu Hostellerie de la Poste, place Vauban, à Avallon (Yonne).



Le 16 mars 1815, à 4 heures de l’après-midi, venant de Saulieu (Côte d’Or), accompagné de ses lanciers et du 13è régiment de dragons, l’Empereur ne se rendit pas à la sous-préfecture, instruit du peu d’empressement des autorités à le reconnaître. Napoléon préféra descendre à l’hôtel de la Poste, place Napoléon, anciennement place Bourbon et place Vauban aujourd’hui. L’Empereur occupa une chambre du premier étage qui existe encore et dont les deux fenêtres donnent sur la place.
L’hôtel de la Poste avait abrité, l’année précédente, deux voyageurs de marque : le roi de Prusse Frédéric-Guillaume (incognito sous le nom de prince de Repnin) et le duc d’Orléans, le futur roi des Français.
Une foule si nombreuse et opiniâtre se bousculait devant l’hôtel, qu’il était impossible aux personnes de la suite d’entrer ou de sortir. Le service d’ordre était assuré par la garde nationale réunie grâce au soin du brave colonel Nérin.
Napoléon se montra plusieurs fois au balcon et les gens de couche modeste agitaient leurs chapeaux et criaient « Vive l’Empereur » ! tandis que les bourgeois et les artisans de la ville se montraient beaucoup plus réservés.
Durant la nuit, un ouragan sévissait avec une extrême violence, (confirmé dans l’ouvrage du lieutenant Lefol, neveu du général , « Souvenirs sur le retour de l’Empereur »).
L’Empereur s’est installé dans sa chambre assis dans un mauvais canapé. Il portait une robe de chambre et un foulard, négligemment attaché, couvrait sa tête. Une table était couverte de papiers et devant Lui il y avait deux bougies. ; plus loin près de la croisée se trouvait une chaise sur laquelle on avait étendu sa redingote et posé son chapeau ainsi que son épée. Plus loin, sur une petite table, était aussi un portefeuille, un nécessaire de voyage et une tabatière. L’ameublement est aujourd’hui dispersé ; le lit où l’Empereur passa la nuit appartient actuellement à M. Henri Chanut, propriétaire de l’hôtel du Chapeau-Rouge. C’est un lit en acajou, orné de tête de Minerve en bronze. Seule subsiste du passage de l’illustre hôte, la glace du trumeau
Le lendemain matin 17 mars 1815, l’Empereur distribua encore deux ou trois croix d’Honneur, se montra à nouveau au balcon ; la foule de nouveau se rassembla devant les fenêtres de l’Empereur. Napoléon salua le peuple et descendit pour monter en voiture.
Dans la cour où se trouvait la calèche de l’Empereur, se trouvait un homme parmi la foule muni d’un pistolet qu’il devait décharger sur Napoléon ; mais soit que le cœur lui eut manqué, soit qu’il fut troublé de remords au moment de commettre cette lâche action, soit aussi qu’il n’eut pas le temps de l’ajuster, ce crime n’eut heureusement pas lieu. Le malheureux eût tiré qu’il eût été immédiatement mis en pièces, car l’enthousiasme qui se manifestait dans la rue était à son comble. On partit pour Auxerre aussi simplement que l’on était arrivé.

Département de l’Yonne
Arrondissement d’Auxerre
Canton de Toucy
Commune : DRACY

A 26 km à l’Ouest d’Auxerre, par la D.365 jusqu'à Toucy (21 km), puis par la D.950 (5km) en direction de Charny.




Château du 18ème siècle composé de deux corps principaux, flanqué de deux ailes entourées des eaux de la rivière Ouanne. Ce château fut la propriété du général de division, baron de l’Empire Joseph BOYER de Rébeval.

Le frère du baron Joseph Boyer de Rébeval, Claude Boyer, chirurgien-major, supérieur des droits réunis à Wissembourg ; contrôleur en chef de la Manufacture Impériale des Tabacs à Paris, s’installe à Dracy au château de son frère qu’il gère et entretient (1810)

Claude Boyer a épousé Marguerite Louise Pioche de Launay qui lui a donné 6 enfants dont : Virginie Pauline né le 15 décembre 1795, mariée en premières noces, le 4 mars 1812, à son oncle le baron Joseph Boyer de Rébeval (divorce) et en secondes noces au Major Edme Adrien Lavollée.

Mention :
Virginie Pauline repose dans le cimetière de Villiers-Saint-Benoît (Yonne) dont la sépulture aux armes du Baron Boyer de Rébeval existe encore de nos jours.

Département de l’Yonne
Arrondissement d’Auxerre
Canton de Toucy .
Commune : VILLIERS SAINT-BENOIT

Villiers-Saint-Benoît est située à 5 km de Dracy (Yonne)

Ancien Cimetière : sur la gauche et fond de l'allée centrale
avant dernière sépulture avant d'accéder dans le nouveau cimetière.



Il s’agit de la pierre tombale du fils du général de division BOYER baron de Rebeval ; Louis Hippolyte Boyer de Rébeval, né le 25 août 1820 à Villiers Saint-Benoît (Yonne), notaire à Mézilles (Yonne), marchand d’étoffes, maire de Villiers-Saint-Benoît (Yonne) de 1862 à 1870.

Département de l’Yonne
Arrondissement de Sens
Canton de Villeneuve-Sur-Yonne
Commune : VILLENEUVE-SUR-YONNE

A 12,5 km au Sud de Sens (89), par la R.N.6.

Département de l’Yonne
Arrondissement de Sens
Canton de Villeneuve-L'archevesque
Commune : VILLENEUVE L’ARCHEVEQUE





Corse, ami de la famille Bonaparte, conseiller et fondé de pouvoir de Lucien, ministre de l’Intérieur après le 18 brumaire ; se rend acquéreur de l’abbaye de Vauluisant, vendu comme bien national.

Aujourd’hui, la ferme de Vauluisant, propriété privée, est un restaurant.
Lieu non visitable.

Département de l’Yonne
Arrondissement de Tonnerre
Canton de Noyers-Sur-Serein
Commune : GRIMAULT

Hameau : COURS

A 35 km au S.E d’Auxerre, par l’A6. Sortie à Nitry (23,5 km)

Prendre la D.49 jusqu’à Noyers (9km), puis la D.86 jusqu’au lieu dit Cours (3,5 km) dans la direction de L’Isle-sur-Serein.





Face au petit cimetière de Cours (Yonne), magnifique château du 18ème siècle, constitué de son corps de logis et de deux ailes, propriété du chef d’escadron de cavalerie Jean Henri d’AVOUT.



Le château est à ce jour une propriété privée répertoriée au niveau touristique comme chambres d’hôtes.
Il peut être visitable en accord avec le propriétaire actuel..

Département de l’Yonne
Arrondissement d’Auxerre
Canton d’Auxerre.
Commune : GURGY

Situé à 2,5 kilomètres, en sortie de Gurgy, près de la D.84 reliant Monéteau et Auxerre, à Seignelay.



Le général de division, baron de l'Empire Louis Jean Desaix (1790 - 1845) fut propriétaire du château de Guillebaudon, dominant la vallée de l’Yonne, situé à 2,5 km en sortie de Gurgy, sur la route de Seignelay à Auxerre (D.84) (propriété privée) Il était également propriétaire du château et des terres de Montigny-la-Resle situé près de la route de Saint-Florentin à Auxerre (N.77).

Guillebaudon est constitué d’un corps central d’un étage sous une vaste toiture mansardée en croupe et accolé de deux ailes en pavillon couvertes de toitures disposées parallèlement.
La façade principale est percée de treize fenêtres autour de la porte centrale et huit fenêtres s’ouvrent sur chacune des faces latérales. Le château, en légère élévation, est construit sur une terrasse qui dissimule de vastes sous-sols où logent les cuisines et les services. Lorsqu’on pénètre à l’intérieur on trouve, d’un côté du large vestibule, le grand salon suivi d’un petit salon, la bibliothèque, un appartement doté de salle de bains.
De l’autre côté, une grande salle à manger, une petite salle à manger, l’office et différentes pièces de service avec un escalier donnant accès aux cuisines en sous-sol.


Par un grand escalier situé dans le vestibule on gagne le premier étage. Plusieurs appartements s’y succèdent, en tout, une demi-douzaine de grandes pièces accompagnées d’antichambres et de cabinets. Une salle de billard complète ce niveau.


Au deuxième étage, une dizaine de chambres mansardées sont disposées tout au long de corridors avec le garde-meuble et trois chambres de domestiques.


Le château est meublé d’un mobilier réalisés par les maîtres artisans et ateliers de l’Empire.
Il n’est question que d’acajou massif et de bronze doré avec colonnes et palmettes. Il faut monter au deuxième étage pour trouver des meubles de bois de noyer, mais là aussi l’ameublement est de qualité. Plusieurs pendules portent les signatures de maîtres horlogers du Palais-Royal.

Le château appartient à présent à une famille Hollandaise.
Propriété privée, le château de Gullebaudon n’est pas visitable.

Département de l’Yonne
Arrondissement de Joigny
Canton de Charny
Commune : LA FERTE-LOUPIERE



Château renfermant des tableaux de maîtres, propriété du baron de l’Empire François Marie de Monnier (1781-1863) - Chef de service de la Police impériale - Officier de la Légion d’honneur.

Département de l’Yonne
Arrondissement de Auxerre
Canton d’Aillant-sur-Tholon
Commune : LES ORMES



Propriété de la famille GISLAIN DE BONTIN dont Alexandre Louis Jules GISLAIN de BONTIN, Capitaine dans l’artillerie à pied de la Garde impériale.

Voir les fiches GISLAIN de BONTIN

Département de l’Yonne
Arrondissement de Sens
Canton de Sens
Commune : MALAY-le-Grand

A 6 km de Sens à l’Est de Sens (89) par la R.N.60. A la sortie de MALAY-le-Grand, prendre la D.146 vers les communes de Noé et de Theil-Sur-Vanne, en direction du hameau des Fleuris. (1ère à droite, après la salle des fêtes de Malay-le-Grand. Au lieu-dit «la Mothe », prendre dans la forêt le premier chemin forestier sur la gauche.
Le château de La Houssaye se tient en sortie de taillis, à l’orée de la forêt d’Othe.





Le château de La Houssaye est d’origine féodale. Le domaine est flanqué de quatre tours d’angle. Un corps de logis, au grand toit de tuiles, relie deux tours sur la face Ouest, tandis qu’à l’Est subsistent colombier et chapelle. Une grande cour entoure la demeure et les communs, aux ouvertures à encadrements de briques On accède par un pont dormant au logis seigneuriale qui s'ouvre sur une seconde cour fermée, cerné de portions de fossés. A l’origine, une longue allée traversait là, l’immense forêt pour aboutir à la façade principale. Un chemin de ronde surplombe la façade septentrionale.

Le château de la Houssaye fut acheté par BOURRIENNE, alors qu’il était ambassadeur à Hambourg. Il en fit don à sa fille au moment de son mariage avec M. Massieu de Clerval, le 17 mars 1815

Propriété privée LA HOUSSAYE n'est pas visitable.

Département de l’Yonne
Arrondissement de Auxerre
Canton d’Auxerre
Commune : PERRIGNY



Aujourd’hui centre psychiatrique, près de la D.158, sur la droite avant Perrigny en direction de la commune de Saint-Georges (banlieue d’Auxerre). Propriété de Louis-Joseph-Narcisse MARCHAND.



Né le 8 mars 1791, à Paris (Seine).
Décédé le 19 juin 1876, à Trouville.

Fonctions :
Valet de chambre de Napoléon (1811)
Premier valet de chambre de Napoléon, en avril 1814.
Il suivit l’Empereur à l’île d’Elbe et à Sainte-Hélène où il écrit sous sa dictée un « Précis des guerres de Jules César » qui paraîtra en 1836. Revenu en France, il rejoint sa mère, qui a bercé le roi de Rome et réside à Perrigny, près d’Auxerre. Il y achète le domaine du Verger. Lors de ses séjours à Paris, il fréquente la maison du général comte de Brayer dont il épouse la fille. En 1840, il accompagne le prince de Joinville pour ramener en France les cendres de l’Empereur.

Titres :
Comte de l’Empire, par décret et par lettres patentes de l’Empereur Napoléon III, en 1861.

Département de l'Yonne
Arrondissement : Avallon
Canton : Avallon
Commune : AVALLON

Hôtel de ville d'Avallon

Dans la salle du Conseil municipal, tableau représentant le général de division Joseph HABERT

Département de l’Yonne
Arrondissement d’Avallon
Canton de L’Isle-sur-Serein
Commune : ANNOUX

A 64 kilomètres au S.S.E. d’Auxerre, par la R.N.6 jusqu'à Vermenton, puis par la D.11 par Sacy jusqu'à Nitry
(11 Km). Par la D.49 jusqu'à Noyers (9 Km) puis la D.86 jusqu'à L’Isle-sur-Serein, prendre la D.12 (7 km).
Sis : 9, Rue du Mariolet, à Annoux (89) - (Propriété privée)

Département de l’Yonne
Arrondissement d’Avallon
Canton de L’Isle-sur-Serein
Commune : ANNOUX

A 64 kilomètres au S.S.E. d’Auxerre, par la R.N.6 jusqu'à Vermenton, puis par la D.11 par Sacy jusqu'à Nitry
(11 Km). Par la D.49 jusqu'à Noyers (9 Km) puis la D.86 jusqu'à L’Isle-sur-Serein, prendre la D.12 (7 km).
Sis : 9, Rue du Mariolet, à Annoux (89) - (Propriété privée)



A l'Intérieur de sa maison natale du Maréchal Louis DAVOUT
Au-dessus de la cheminée de la pièce commune.

Département de l’Yonne
Arrondissement d’Avallon
Canton de L’Isle-sur-Serein
Commune : ANNOUX

A 64 kilomètres au S.S.E. d’Auxerre, par la R.N.6 jusqu'à Vermenton, puis par la D.11 par Sacy jusqu'à Nitry
(11 Km). Par la D.49 jusqu'à Noyers (9 Km) puis la D.86 jusqu'à L’Isle-sur-Serein, prendre la D.12 (7 km).
Sis : 9, Rue du Mariolet, à Annoux (89) - (Propriété privée)





On remarque sur cette photographie datant de 1905, le four à pain qui n'existe plus de nos jours (à gauche de la photographie)

Département de l'Yonne
Arrondissement : Avallon
Canton : Avallon
Commune : AVALLON

Hôtel de ville d'Avallon

Dans la salle du Conseil municipal, tableau représentant le maréchal Louis DAVOUT

Département de l’Yonne
Arrondissement de Sens
Canton de Chéroy
Commune : VALLERY

A 22 kilomètres à l’Ouest de Sens, par la D.81, puis à Saint-Valérien, à droite par la D.65.

Département de l'Yonne
Arrondissement d'Auxerre
Canton de Saint-Sauveur-en-Puisaye
Commune : DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES

A 33 kilomètres au Sud-Ouest d'Auxerre, par la RN.151 jusqu'à Courson-Les-Carrières, puis par la D.104.

6, Rue du Capitaine Coignet



Une palme de la Légion d'honneur a été apposée sous la plaque commémorative, en 1984.