Devinettes

L'auteur de la statue et la personne envoyée en mission ne font pas un ?

Citation :

L'auteur de la statue et la personne envoyée en mission ne font pas un ?

Si fait !
Mais pourquoi a-t-il été envoyé à Londres et dans quel endroit précis de la capitale britannique s'est-il rendu pour mener à bien sa mission ?

Est ce que cela n aurait pas été pour croquer les statues de lions du palais de Buckingham ?

On se rapproche à grands pas de la solution !

Il s'agissait bien de "croquer" des lions, mais ce n'était pas ceux du palais de Buckingham.

Ceux de Trafalgar Square alors, peut-être ?

Non plus !
Les modèles dont s'est inspiré l'artiste n'étaient pas des statues...

Les lions du zoo de Londres ?

Bravo !

Le sculpteur Van Geel n'avait jamais vu de vrai lion avant de concevoir le monument.
Afin qu'il soit le plus ressemblant possible, il reçut l'autorisation du roi des Pays-Bas de se rendre à Londres pour aller les observer sur place.
Un subside de 1500 florins fut débloqué pour ce voyage d'étude.
Un belle somme quand on sait que le Lion fut, à sa livraison, payé 19.035 florins.

A mon tour, donc :
Si l'Empereur était un maître de la propagande,
dans les rangs ennemis on servait aussi sa légende :
Il était recommandé de ne pas tirer à boulets rouge sur Napoléon, pourquoi ?

Est-ce lié à une superstition concernant une prétendue invincibilité de l'Empereur ?

Une superstition ? Oui ! Une invincibilié ? Pas vraiment, mais on s'approche !

En fait, plutôt qu'invincibilité, je dirais super pouvoir !

Jean-Yves a écrit:

En fait, plutôt qu'invincibilité, je dirais super pouvoir !

est-ce que les boulets étaient fabriqués à base de kryptonite
l'exposition de Napo à la kryptonite rouge ayant pu avoir comme effets de provoquer chez lui des mutations et lui procurer ainsi des super-pouvoirs    

Sous l'Empire, dans les rangs des coalisés, circulait la rumeur selon laquelle si on tirait à boulets rouges sur Napoléon, ce dernier les rattrappait à pleines mains et les relançait sur l'ennemi.

Fortiche, l'Empereur !

Félicitations, Percy ! C'est celà ! A vous la main !

Au soir de Waterloo, l'annonce de la mort d'un simple caporal, âgé de vingt-six ans, fit sensation parmi les troupes britanniques, mais aussi parmi la colonie anglaise résidant à Bruxelles.
Pour quelle raison ?

Il s' appelait Wellesley ou Wellington, d' où une confusion possible ?

Non, ce n'est pas cela.
L'émoi suscité par la mort de ce caporal n'est pas lié à son patronyme, mais à la notoriété qui était la sienne à cette époque.

Il s'agit donc de trouver le domaine dans lequel il avait acquis cette notoriété pour se rapprocher de la solution.

un domaine artistique la musique par exemple

Il ne s'agit pas d'un domaine artistique.
Il faut savoir que notre gaillard était une véritable force de la nature avec son 1,90 m et ses 95 kilos !

Il aurait pu être champion d' Ecosse de lancer de tronc d'arbres
Plus sérieusement..... John Shaw était champion de boxe d' Angleterre ..... sport très populaire si il s' en faut chez les Britanniques.

Excellente réponse, mon cher Davin !

A vous la main pour la suivante...

Comme on le sait le jeune Bonaparte était officier d'active d' Artillerie quand il se fit élire en Avril 1792 officier dans un bataillon de volontaires de Corse. Il avait d' ailleurs largement dépassé un temps de permission qui lui avait été accordé et pouvait être considéré comme déserteur. Il se fait d' abord nommer en Février adjudant major dans les volontaires corses ce qui "l'immunise" un temps puisque une loi prévoit que les adjudants major des bataillons de volontaires soient des officiers d' active.
Pas de chance ......une autre loi du 3 février 1792 porte que les officiers de ligne de toutes armes employés dans les bataillons de volontaires doivent rejoindre leurs postes avant le 1er Avril....

Et le 1er avril il se fait élire officier au 2e bataillon de volontaires corses ( Ajaccio) . Pourquoi peut il alors rester provisoirement en Corse?

Il reviendra en France fin mai pour se faire réintégrer dans l'Artillerie, puis retournera en Corse en Octobre.

N'est-ce pas parce qu'il est occupé à un coup de main dans les rues d'Ajaccio ?
Le jour de Pâques, la population, très pieuse, soulevée par ses prêtres et ses moines contre la Constitution civile du clergé, a attaqué les volontaires de la garde nationale.
Bonaparte, leur chef, va répondre par des fusillades et des mesures qui lui vaudront des haines vraiment corses dans sa ville natale.