chère Joséphine.

Bien de mes malheurs et disgraces sont dues à un triste presse agrumes en argent , marqué JB, et que j'ai utilisé en 1797 aprés un voyage à Paris et dont votre Impérial époux a eu vent.
Pouvez vous me dire qui je suis et aussi votre version de cette affaire ?

Bonjour Ambrosio


Je m'attendais à un presse purée !



Bon va pour le jus de fruit.... en chasse

Vous preférez presse-orange ?
Tout à votre service cher ami "itinérant".

Mon Cher Ambrosio, vous réveillez en moi une malheureuse affaire ...

Mais Dieu, 1797 est si loin déjà ! Me laissez-vous quelques heures pour retrouver mes esprits ?

Chére Joséphine,
Aprés le quelques jours passés avec vous à Paris et vos connaissances dans le millieu des personnes influentes de votre ami Barras, je vous laisse avec plaisir les 8 jours demandés

Je n'oublie jamais ma devise de Berg : " l'Honneur, la Gloire et les Dames ".


Ma, che sono un principe


Maurizio ! a mon secours

Bonsoir Cher Ambrosio,

en Impératrice qui se respecte, voyez-vous, je n'ai pas consommé le temps imparti pour vous apporter ma version.

Je vais donc vous parler de ce Maréchal un peu trop bavard que fut Murat...

Profitant d'une mission à Paris où il devait venir remettre des drapeaux pris à l'ennemi, il s'avancera dans les faveurs de Joséphine ; cela lui vaudra une alliée sûre, lorsqu'il décidera d'épouser Caroline ....

Pour notre petite histoire, c'est en se servant de vant ses camarades, d'un pichet à vin, marqué "JB" que Murat fera quelques allusions qui ne tarderont à arriver à l'oreille du Général en chef ...

Ce dernier n'est sûr de rien, mais il fera attendre Murat jusqu'à la bataille terrestre d'Aboukir, avant de lui donner le grade de Général de division ....