Membres fantômes

Membres fantômes

Durant des guerres, des membres tel que pieds, jambes, mains, bras ont été amputés pour causes diverses.

C’est seulement en 1812, que les recherches ont commencé sur le fait de la sensation du membre fantômes.

Lorsque les soldats français ont été pris au piège par le froid, la gangrène fut un désastre, les plaintes sur leur membre perdu dont les sensations de picotements, de pressions, le mal ou les chatouillements.

Etant moi-même amputé de la main droite, je ressent toujours cette main fantôme, les changement de pressions atmosphériques me fond mal, la même chose qu’une opération d’hernie.

Les sensations de cette main, reste dans ma tête, en disposition comme de tenir un bic, une pression tout au tour.


Mains & jambes

Un copain que je voyais (décédé à l’âge de 35 ans), on avait parlé de la différence de sensations de ses jambes amputées et ma main fantôme, on est arrivé à la même chose, le mot de mal était « pression ».

Oui, j'avais déjà entendu parler des membres phantomes, mais je suis incapable de me souvenir de l'explication que m'a donné mon prof de SVT.
Le froid fut un désastre pour la gangrène? J'avais pourtant entendu dire qu'au contraire, quand on avait la gangrène, il fallait mettre le membre atteint dans de la glace, de l'eau glacée.
On m'aurait donc menti? Ou alors, c'est moi qui ai mal compris.

Nyckten n'écoutez pas tout... par contre il est évident que la perte d'un membre, d'un organe n'est pas anodine. L'organisme en conserve la mémoire et notamment le cerveau. Le centre de commande est toujours là. Sur le plan physique je ne suis pas médecin mais on comprend aisément que les terminaisons nerveuses, interrompues, demurent connectées et le sang tourne plus vite. On sait l'avantage que cela a pour les pilotes amputés des membres inférieurs. Ils sont rares mais ceux à qui l'on permis de poursuivre leur métier ont tous eu la même sensation, le voile noir qui disparaît, le sang tournant plus vite ..

Maintenant pour les plaies infectées rien ne vaut une bonne escadrille d'asticots... (expérience testée et approuvée en Indochine)....

Citation :

Maintenant pour les plaies infectées rien ne vaut une bonne escadrille d'asticots... (expérience testée et approuvée en Indochine)....

Oui, et j'ai même entendu dire que cette méthode peu ragoûtante serait parfois de nouveau utilisée chez nous en 2007!
Bien sûr je pense qu'on se garde bien de dire au malade ce qui se "passe" sous le pansement!
Moi aussi je préfèrerais qu'on ne me dise rien!

Bonjour Constance,

Il m'a semblé l'avoir entendu mais je ne saurais le confirmer et en donner la source ... mais en chirurgie de guerre oui ....


Il est vrai que ce n'est pas trop encourageant, mais en l'absence d'antibiotiques et de d'asepsie moderne c'est la moins mauvaise des solutions... à moins qu'un médecin nous propose une autre méthode !

J'essaierai de vous donner quelques détails, je tiens ceci de l'aveu même d'un médecin. Et d'une revue médicale destinée à la formation interne des médecins. Photos à l'appui! (Je vous épargnerai les photos! ).

Bonsoir,

Je confirme

Oui, je confirme également.
Après une petite enquête, je suis en mesure de vous dire avec certitude que cette pratique est toutjours d'actualité de nos jours en Europe Occidentale, et dans des hôpitaux de très bonne réputation.

Lorsque l'utilisation d'antibiotiques ne vient plus à bout des plaies (situation de plus en plus fréquente), et bien on y dépose quelques intrus qui, il faut le dire, font du bon boulot!
Ca se passe généralement sous un pansement et le patient est au courant.

Comme quoi, certaines bonnes vieilles méthodes ont encore de beaux jours devant elles.