Ce qui vous aurait manqué

Imaginons un instant : Vous avez réussi à créer la fameuse machine à remonter le temps et vous décidez de vous en servir pour aller explorer votre,époque préférée, celle de Napoléon 1er, mais, patatras, si le départ se passe bien, l'arrivée est autre chose. Vous vous retrouvez au début du Consulat, mais la machine n'a pas supporter le choc, et si vous avez réussi à vous en sortir vivant, elle, elle s'est totalement désintégrée. Vous voici bloqué dans le passé, cela vous n'y avez pas pensé. Vous allez devoir apprendre à survivre dans cette période. A votre avis, qu'est-ce qui vous manquera le plus de notre époque? La télévision ? Votre voiture ? Les vaccins ? Quoi donc ?

Internet (reste à me rencarder avec Volta pour trouver de l'électricité et prier Saint Napoléon pour espérer avoir une connexion correcte).
Comme ça, je retrouve les numéros gagnants de la loterie et je deviens riche comme Crésus.

C'est peut-être bête à dire...mais personnellement c'est mon épouse qui me manquerait....

Je rejoins l'avis de Thinap : à mon sens, c'est l'électricité et tous les progrès qu'elle a apporté qui me manquerait le plus en de telles circonstances.
On n'imagine pas toujours à quel point nous serions démunis si un jour la fée électricité venait à cesser de nous dispenser ses bienfaits.
Elle est à la base de tout notre confort actuel.

ben mes chiens.......

Citation :

C'est peut-être bête à dire...mais personnellement c'est mon épouse qui me manquerait....

Bien sur, mais les soldats qui parcouraient l'Europe dans tous les sens n'avaient pas leur épouse qui les accompagnait ... leur épouse leur manquait déjà (enfin ... on peut supposer )

Oui et non !
Quand on lit les Mémoires de certains soldats ou officiers, on s'aperçoit que c'étaient de véritables Dom Juan et que le charme français ne laissait pas indifférentes les autochtones.
On m'objectera que la plupart de ces coureurs de jupons n'étaient pas mariés.
Voire...

Le donjuanisme n’était pas toujours de mise…

Témoignage du chef d'atelier d'habillement François Bernoyer. Nous sommes à Jaffa :

« Ce que je n'avais jamais vu de ma vie, ce fut un trafic de jeunes personnes qu'on échangeait contre mille objets divers. Nos soldats, voyant que cette espèce de commerce était lucratif, amenèrent une grande quantité de jeunes filles ou de jeunes femmes dans le camp : il devînt bientôt une arène de discorde et de troubles. Le désordre était si grand que, de toutes parts, on se disputait la beauté les armes à la main. Pour bien juger du caractère des hommes, il faut avoir été témoin de toutes les atrocités commises quand ils sont livrés à eux-mêmes : ils savent que l’impunité du moment leur permet de faire éclater toutes leurs passions. Dès lors, on peut dire avec vérité qu'ils perdent leur raison et qu'ils deviennent plus cruels que le plus cruel des animaux de la terre. J'eus plusieurs fois l'occasion de m'en convaincre, surtout au cours de ces malheureuses journées où le crime et la mort planaient autour de nous. Je vis des soldats quitter le carnage, épuisés de fatigue et couverts de sang, choisir parmi les victimes de pauvres créatures qu'ils entraînaient malgré elles pour satisfaire leur brutale passion sans la moindre pudeur. »

Mes platines vyniles me manquerais beaucoup .

Berthier sans la belle Visconti...était désespéré !

Je ne crois pas que l'on s'ennuierait vu que nous aurions l'avantage de connaître d'avance se qui se passera on pourra en profiter pour se construire un rôle et avoir l'honneur d'entrer dans l'histoire.

Toutefois, il ne faudrait pas que se rôle soit trop "visible" pour ne surtout pas avoir une influence sur le déroulement des événements.

Se que je ferai c'est d'écrire un mémoire : un moyen pour ne pas influencer l'histoire en plus d'avoir une petite notoriété historique.