c'est avec une délectation que je lis tout cela, sans flagornerie, vos expressions sont justes et "éclairées"elles reflètent ce que beaucoup d'entre nous pensent mais n'arrivent pas à exprimer.Ma petite idée est que le blocus était voué à un échec, il y avait l'intéret financier au dessus de tout,l'argent ,nerf de la guerre,et de tous temps.Certains auteurs ou chroniqueurs n'ont-ils pas accuse carrément l'Impératrice d'enfreindre ces règles ?????Quant à l'Espagne,qui de nos jours dans le monde Napoléonien n'est preetxte qu'à voyages, rond de jambe, conférences ect.. et bien qu'une certaine amie connue de tous écrivain,conférencière éditorialiste ect...met en avant un tas d'arguments. pour justifier cette INGERENCE,..meme si le Maréchal LANNES a été très clément pendant le siège de Saragosse, mon humble avis est : "nous n'avions rien a faire en Espagne et au Portugal, la preuve en est: à courir plusieurs lièvres on en attrape aucun.En italien Chi troppo vuole poco ha..."Et une ame indulgeente et esprit de génie ,comme celle de l'Empereur ne pouvait l'ignorer, et en fait,il ne lui est plus rester...qu'un lopin de terre, que nous allons surement sauver des outrages du temps..Talleyrand..encore lui, c'est ne autre vue. VIVE LEmpereur.